Aviculture: Unités modernes, abattage moyenâgeux
Deux contrats-programmes, des résultats probants et une croissance annuelle moyenne de 6%. Mais l’aviculture n’a pas pu pour autant s’affranchir des déboires de l’insalubrité de l’aval: abattage et transport des volailles. La réglementation existe sur le papier, mais son application se heurte à l’inertie et à l’incurie des communes. Un appui vient d’être obtenu auprès du ministère de l’Agriculture. La tutelle technique promet de mettre son poids dans la bataille afin que le secteur soit reclassé en activité agricole au lieu du «commerce de volailles».